Les violences sexuelles ainsi que les mariages forcés ou précoces sont des formes de violences basées sur le genre (VBG) qui touchent de nombreuses jeunes filles en République démocratique du Congo. Ces violences compromettent gravement leur droit à l’éducation. Certaines adolescentes n’ont, en effet, jamais eu l’opportunité de fréquenter une école depuis leur naissance.

À l’occasion de la campagne mondiale des 16 jours d’activisme contre les violences basées sur le genre (du 25 novembre au 10 décembre), qui souligne l’urgence de combattre les injustices subies par les femmes, le Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA) salue les progrès réalisés en RDC, notamment l’adoption de la loi sur les violences sexuelles en 2006 et celle sur la réparation des victimes de violences sexuelles liées aux conflits en 2022 qui visent à protéger les droits des femmes et des filles. Cependant, cette agence de l’ONU insiste sur les défis persistants, en particulier la nécessité de mettre fin à l’impunité pour les auteurs de violences à l’égard des femmes et des filles.

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