Huit membres d’une communauté pygmée de l’Est de la République démocratique du Congo (RDC) ont été lourdement condamnés, le 4 février, pour « destruction méchante de la nature » dans un parc national. Les autochtones défendent leur droit à accéder à leurs « terres ancestrales ». Le parc national renvoie la responsabilité sur l’Etat. La solution est-elle pénale ?
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