Dix mois après leur retour au pays, des enfants vivant sur le site de Nkandi n’étudient pas. Tous les déplacés hébergés ici trouvent à peine de l’eau potable. L’accès aux soins de santé relève d’un luxe. Au cours d’un face à face avec le Gouverneur intérimaire du Kasaï-Central, le représentant des retournés transmet un cahier des charges à l’autorité provinciale. Ambroise Kamukuny dit avoir pris acte de leurs doléances.