En RDC, plusieurs personnes sont victimes de la détention préventive extralégale. Au Kasaï-Oriental, précisément à Mbuji-Mayi, l’Ong Action des Chrétiens pour l’Abolition de la Torture (ACAT) a recensé en 2018 plus de 30% des cas dans les lieux de détention qu’elle a visités. A la même période, le Collectif des Femmes Avocates pour la Promotion des Droits Humains (COFAP/DH) a, quant à elle, noté plus de 300 cas. Cette structure regrette que beaucoup des citoyens ignorent la durée de la détention préventive qui est de 48 heures. Ces organisations de la société civile mènent des plaidoyers auprès des autorités judiciaires pour faire libérer les victimes. Un reportage à suivre en cliquant sur ce lien.